Aux hommes que j'aime, nulle misandrie à bord.

Je les observe depuis ma plus tendre enfance, souvent en souffrance, pour tout ce qu'ils ne savent pas voir, et notamment les manipulatrices, cruelles, instinctives et dominatrices, jouant à la perfection avec la communication non-verbale afin de les séduire et de les mener par le bout du nez. Je n'ai jamais envié ces filles là, mais me suis totjorn demandé pourquoi, eux, ils ne me voyaient pas. Alors je les ai longtemps mimés, eux plutôt qu'elles -leurs techniques que je trouvais malsaines et du domaine illusoire me mettaient mal alèse-, afin de les analyser et de comprendre leur modus operandi ainsi que leurs codes. J'ai longtemps rêvé que je serais heureuse en amour. Puis j'ai totjorn rêvé d'avoir des frères.

Je pense aux nombreux pères, les quels, quand ils se séparent, ne cherchent pas à briser leur ex et partagent ou laissent lui laissent tout au nom de l'amour qu'ils vouent à leur famille. J'en ai connu, et, très malheureux de leur "perte", je les ai vus et entendus souffrir. J'étais dans leur camp, ne supportant pas le nombrilisme des dites femmes dans certaines situations.

Je pense à tous ceux qui n'ont jamais été violents, même s'ils sont nombreux à avoir des comportements sexistes, qui aiment faire plaisir, qui sont gentils, (je sais ce mot n'est plus très à la mode), parfaitement aimables et donc des hommes d'exception, de qualité et de grande valeur.

Je pense à ceux dont les épouses infidèles et matérialistes déplorent l'absence alors qu'ils ne pensent qu'au travail et à répondre aux besoins matériels de la famille. -Un petit effort messieurs pour répondre aux besoins affectifs, fort tout de même!-.

Je pense à ceux qui artagent leurs richesses spirituelles sans le moindre égard pour l'âge ou le sexe, coeur&esprit ouverts.

Je pense à ceux qui fraternisent et discutent aisément et sincèrement.

J'aime être juste, intègre et honnête. Je n'aime pas les femmes misandres.

Sororellement,